Comité des maires

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Sunday, July 17, 2016

Auvers-sur-Oise : les condoléance de Maryam Radjavi



http://www.leparisien.fr/auvers-sur-oise-95430/auvers-sur-oise-les-condoleance-de-maryam-radjavi-16-07-2016-5972943.php

La Présidente du Conseil national de la Résistance iranienne, installé à Auvers-sur-Oise, condamne «vigoureusement l’effroyable crime terroriste de la nuit du 14 juillet à Nice et le massacre des innocents». Maryam Radjavi adresse «ses condoléance au peuple français».
« L’intégrisme, le terrorisme et le massacre des innocents sous le couvert de l’islam, tant sous la forme chiite avec le guide suprême, que sunnite avec Daech, n’ont rien à voir avec l’islam authentique. Où qu’il soit, ce phénomène funeste est l’ennemi de la paix et de l’humanité et doit être éradiqué», souligne-t-elle dans un communiqué.
La communauté a également installé un petit autel de condoléances, rue des Gords à Auvers.
  leparisien.fr

Tuesday, July 12, 2016

Iran : l'opposition dresse un sombre bilan de l'accord sur le nucléaire

Iran : l'opposition en exil dresse un sombre bilan de l'accord sur le nucléaire
AFP
09/07/2016
L'opposition iranienne en exil a dressé samedi un constat "d'échec" un an après l'accord historique sur le nucléaire iranien, estimant que le pays s'était depuis enfoncé dans la récession, coupé de ses voisins et durci en interne.
"L"économie du pays devait se remettre sur pied, mais elle est encore plus enfoncée dans la récession qu'auparavant, le système bancaire est en faillite et les entreprises ferment à foison", a déclaré la présidente du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), Maryam Radjavi.
Cette responsable s'exprimait à l'occasion du rassemblement annuel de son mouvement, organisé au Bourget, près de Paris, qui rassemblait des milliers de personnes venues essentiellement d'Europe, mais aussi des Etats-Unis ou d'Australie.
Le CNRI, basé en France, est une coalition politique de groupes d'opposants iraniens, dont les plus connus sont les Moudjahidine du peuple (MEK), une organisation considérée comme "terroriste" par l'Union européenne jusqu'en 2008 et par les Etats-Unis jusqu'en 2012.
C'est ce mouvement d'opposition qui avait révélé en 2002 l'existence d'un programme nucléaire iranien. Dans un accord signé le 14 juillet 2015, Téhéran a accepté de limiter ce programme en échange de la levée des sanctions économiques occidentales contre le pays. 
Un an plus tard, "une grande partie des sanctions a été levée et les exportations de pétrole ont augmenté, mais l'argent a été englouti dans le brasier de la guerre en Syrie", a estimé Mme Radjavi.
Avec cet accord, les dirigeants "disaient vouloir améliorer leurs relations avec le monde, mais à la place ils ont intensifié leurs ingérences dans les autres pays et finalement au moins six pays voisins et de la région ont rompu leurs relations avec le régime", a-t-elle ajouté.
L'Arabie Saoudite sunnite, notamment, a rompu toute relation avec l'Iran chiite, après le saccage de missions diplomatiques saoudiennes par des manifestants iraniens. Mais plus globalement, les deux pays s'opposent sur les crises régionales, notamment la Syrie ou l'Irak, où Téhéran a envoyé des "conseillers" militaires.
Enfin, en interne, Mme Radjavi a dénoncé une "farce électorale". Malgré la progression des réformateurs aux législatives en début d'année, l'ayatollah Ali Khamenei, 76 ans, a maintenu sa "mainmise sur les deux chambres", a-t-elle estimé, en évoquant une augmentation des "exécutions" dans le pays.
"Ni la fable de la modération ni le tapage sur l'accord nucléaire n'ont pu ouvrir une voie au régime", a-t-elle conclu 
OLJ/



compte-rendu de l'evenement sur le site de FRANCETV-Info :



videos des délégations françaises intervenant :