Comité des maires

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Saturday, December 31, 2016

Iran : L'approche démagogique et cruelle de Rohani envers les sans-abri « squatteurs de tombes »


Un sans-abri : « Des officiers sont venus ce matin, nous ont battus, pris nos affaires, nous ont expulsés et sont partis. »
https://youtu.be/bf-xG2a5Cjk

Suite à la montée de la turbulence sociale au sujet du phénomène choquant des sans-abri « qui dorment dans les tombes » pendant les temps de fraîcheur, le président du régime des mollahs, Hassan Rohani, a essayé de se soustraire à la responsabilité et de justifier la situation en déclarant : « Qui peut accepter que des dizaines de ses compatriotes qui ont souffert de « troubles sociaux » se réfugient dans des tombes la nuit à cause de l'itinérance ? » Le gouverneur de Rohani nommé dans le comté de Shahriar a promis de spécialement gérer de la situation des sans-abri qui dorment dans le cimetière de Nasirabad. Cependant, leur approche face à ce problème a été cruelle et démagogique.
Le journal officiel Shahrvand (Citoyen), dans un article intitulé « Rassemblement des squatteurs de tombe », a rapporté le soi-disant plan des mollahs et leur approche pour organiser et prendre soin des sans-abri dormant dans des tombes vides : « Actuellement, parmi 300 tombes vides dans le cimetière de Nasir Abad, une seule personne (sans abri) demeure. Il s'appelle Behrouz. Seul dans une tombe vide, à côté de 299 autres tombes vides, Behrouz explique : « Des officiers sont venus ce matin, nous ont battus, ont pris nos biens, nous ont expulsés et sont partis. Et maintenant je suis le seul ici. Voilà les seuls mots que Behrouz pouvait nous dire de l'intérieur de la tombe vide, une tombe qui n'est éclairée que par une petite flamme (pour le réchauffer dans le froid glacial) ».
Au lieu de résoudre le problème en fournissant de la nourriture et un abri adéquat, le gouvernement de Rohani, par l'entremise de son gouverneur désigné, envoie les agents de la police et de la municipalité pour battre et chasser les sans-abri. En fait, ils tentent d'éliminer le problème sans apporter une solution fondamentale à l'itinérance et à la pauvreté. En effet, ils tentent de cacher la choquante tragédie et de montrer que la tragédie n'existe plus ou a été résolue en battant et en dispersant les sans-abri.
« Certaines personnes sont venues et ont essayé de nous disperser en nous donnant des coups de pied et en nous tabassant. Ils provenaient de la municipalité et de la police. Cependant, ceux que nous avons vus ne portaient pas d'uniforme ou de tenue spécifique. Ils n'essayaient pas d'aider, mais voulaient simplement nous disperser. Ils ont pris nos affaires et sont partis », a déclaré Behrouz, selon le journal Shahrvand.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il ne se rendait pas à Garm-Khaneh ou à Warm House (un refuge sous forme de camp), Behrouz a répondu : « J'allais à Garm Khaneh, mais chaque fois que j'y vais cela coûte 25 mille Tomans (6,5 dollars) aller-retour. Je ne peux pas me le permettre. Je n'ai pas d'argent. Qu’est-ce que cela coûte au gouvernement de construire un refuge ici ? C’est du gâteau pour eux. Nous ne sommes pas étrangers, le sommes-nous ? Nous sommes aussi iraniens. Ne sommes-nous pas des humains ? Qu’est-ce que cela coûte au gouverneur ou au maire de construire un refuge ici ? C'est aussi simple que de boire un verre d'eau pour eux.
« Au cours des 40-50 derniers jours où la fraîcheur s’est installée, j'ai construit 5 cabanes pour m’abriter jusqu'à présent, mais la police et les agents de sécurité ainsi que ceux de la municipalité les ont brûlés ou détruits à chaque fois, et maintenant je dois dormir dans le désert. J’ai trouvé une bâche en plastique et l’ai tirée sur ma tête pour me protéger contre le vent et la pluie », a ajouté Behrouz.
Lorsqu'on leur a demandé s'ils n'avaient pas peur de dormir à côté de la mort, Behrouz a répondu : « Non, nous n’avons pas peur. Vivre à côté des gens qui vivent est plus difficile que de vivre à côté de la mort. Nous avons réalisé cela après qu'ils soient venus le matin et nous ont expulsés après nous avoir battus. »
Le journal officiel conclut l'article en écrivant : « Les squatteurs de tombe ne sont ni organisés ni pris en charge, mais dispersés. Les autorités de la municipalité du comté de Shahryar, près de Téhéran, ont annoncé hier qu'elles avaient organisé et pris soin de ces squatteurs de tombe sans abri, mais en fait, ils ne l'ont pas fait. »
« Ils les ont simplement renvoyés, les ont chassés du cimetière et les ont dispersés. Ils (les sans-abri) ont pris tout ce qui leur restait tels que des couvertures sales et déchirées ... Ils sont allés trouver une sorte de refuge dans le désert, un cachot, un coin d'un mur effondré ou dans des bâtiments inachevés à proximité mais loin des yeux de la police, de la municipalité et du gouvernement. »
Par ses déclarations démagogiques sur ce problème, Rohani prend apparemment la position du plaignant comme s'il était étranger au régime et non responsable des problèmes fondamentaux de pauvreté et d’itinérance ainsi que de ses conséquences en Iran. Il a déclaré : « Nous avions entendu dire que certains en raison de la toxicomanie, de la pauvreté et de l’indigence, dorment dans les rues, dorment sous les ponts ... Mais nous avions rarement entendu parler de squatteurs de tombe. Nous avons rarement entendu dire qu'une personne pauvre dort dans une tombe en raison de la pauvreté et de l’indigence.
Il n'explique pas que la vraie raison des « maux sociaux » auxquels il a fait allusion dans ses déclarations et la véritable raison de la situation socio-économique catastrophique, y compris la choquante tragédie des sans-abri « qui dorment dans des tombes » ne trouve son origine que dans les politiques économiques, sociales étrangères du régime.
En effet, Rohani doit être tenu responsable et doit expliquer pourquoi il a dépensé et continue de dépenser des milliards de dollars d'actifs non gelés pour financer la force terroriste Al-Qods des Pasdaran ainsi que les milices et mercenaires affiliés afin qu’ils participent au massacre des innocents à Alep et dans d’autres villes syriennes, fabriquer des missiles balistiques, poursuivre les exécutions et la répression interne et laisser le champ libre aux mollahs et à leurs cercles intimes de piller une grande partie de la richesse nationale iranienne, mais n'a rien fait pour fournir un simple abri pour ces personnes impuissantes ou pour résoudre les problèmes fondamentaux de pauvreté et d’itinérance.

Sunday, November 27, 2016

Mettre fin à l'impunité des auteurs de crimes contre l'humanité en Iran et en Syrie



Conférence de Paris
Appel à la justice; Mettre fin à l'impunité des auteurs de crimes contre l'humanité en Iran et en Syrie
Maryam Radjavi: la communauté internationale doit mettre fin à son silence et à son inaction vis-à-vis des crimes des mollahs en Iran et dans la région.

Toute solution visant à venir à bout de Daech est subordonnée à l'expulsion totale du régime iranien de la région, en particulier de la Syrie. Le peuple d'Iran déteste cette sale guerre et se tient aux côtés du peuple syrien...

#Iran #Syrie #Paris

Monday, November 14, 2016

Iran- Pendant les sept premiers mois de cette année,713 546 paraboles satellites,ont été saisis.

Pourquoi le régime iranien a-t-il peur des paraboles satellites ?
12 novembre 2016


http://www.comite-maires.fr/index.php/actualites/824-iran-pendant-les-sept-premiers-mois-de-cette-annee713-546-paraboles-satellitesont-ete-saisis

Le chef de la police du « lieu d’un meilleur Téhéran » a annoncé samedi 12 novembre : « Pendant les sept premiers mois de cette année, 713 546 paraboles satellites, 923 299 LNB et 10 766 récepteurs satellites ont été saisis. »

Alireza Lofti, dont les remarques ont été diffusées par l’agence de presse ISNA, a également annoncé que 193 personnes ont été arrêtées pour avoir installé des satellites. Il a menacé : « La police essaie de se concentrer sur les personnes qui installent et connectent ces paraboles. »

De même, le procureur du régime iranien à Téhéran, Abbas Jafari Dolatabi a déclaré : « Quelques statistiques officielles indiquent que presque 60 pour cent des habitants utilisant un satellite afin de contrer les actions de la police et du pouvoir judiciaire en installant des équipements satellites. »

Il a déclaré : « Les autorités ne doivent pas « s’opposer au travail » de la police en se battant contre la collecte de satellites. »

Le centre de recherche des Majlis du régime iranien a admis dans un rapport l’échec de ces mesures et a déclaré : « La loi qui interdit l’utilisation des satellites a perdu son efficacité et les efforts pour passer une nouvelle loi ont échoué à cause du manque d’unification de la police. »

Plus tôt cette année un vice-commandant du corps des gardiens de la révolution (Pasdaran) a exprimé sa peur des chaînes de télévision par satellite et a mis en garde les membres des forces paramilitaires Bassidjis que l’ « ennemi » essaie d’affecter l’opinion publique en « créant une vague négative. »

Il a déclaré : « Le plus grand dommage pour le régime pendant les révoltes de 2009 en Iran a été causé par internet et les réseaux satellites de l’opposition. »

#Iran #paraboles #Police


Friday, November 11, 2016

Le numéro 2 des Pasdaran reconnait le rôle du régime iranien dans l’attentat contre le siège des Marines américain à Beyrouth

Le 3 novembre, Hossein Salami, Commandant en chef adjoint des Gardiens de la révolution (Pasdaran) a déclaré dans un discours prononcé pour l’anniversaire de l’occupation de l’ambassade américaine à Téhéran, que le régime des mollahs « est présent au nord de la Mer Rouge, au détroit de Bab-el-Mandeb et au Yémen et, que la géographie de notre révolution s’étend jusqu’à l’Afrique du Nord ». Il a reconnu que la présence de ses troupes en « Syrie, au Liban, en Irak et au Yémen (…) vise à éloigner le champ des menaces de notre territoire. »

Salami a une fois de plus insisté sur le rôle du régime des mollahs dans l’explosion du QG des Marines américains à Beyrouth : « en 1982 pour la première fois les flammes de la révolution islamique se sont avivées parmi les jeunes Libanais et dans un geste audacieux, un jeune musulman a enterré sous les décombres, 260 marines américains à l’est de la Méditerranée à Beyrouth. »
Déjà, le 20 juillet 1987, Mohsen Rafighdoust ancien ministre des Gardiens de la révolution avait affirmé que : « les Etats-Unis savent que l’explosif qui a été combiné à l’idéologie pour faire sauter le QG des Marines américains, envoyant d’un seul coup en enfer 400 officiers, gradés et soldats, le TNT et l’idéologie provenaient de l’Iran. » (Journal gouvernemental Ressalat).
Salami a tenté de dissimuler dans ses propos les échecs et les crises qu’affronte le régime depuis l’accord sur son programme nucléaire. Dans une fuite en avant ridicule il a déclaré que si les Etats-Unis ne tiennent pas leur engagement : « les centrifuges inactives se remettront en marche, mais non au niveau où l’activité a été stoppée et non pas au niveau d’avant l’accord, nous allons avancer et de nouveau le cycle nucléaire se complétera dans ce pays de manière totale. »
Dans son envolée ridicule, il a présenté les Etats-Unis comme la principale source et le plus grand facteur de violations des droits humains dans le monde et le pays où sont nés les groupes terroristes, mais il a reconnu que la survie du régime des mollahs est due aux guerres menées par les Etats-Unis dans la région. Il a déclaré : « la Révolution islamique (…) a bénéficié des bouleversements pour lesquels les Etats-Unis se sont investis (…) ces dernières années, en envoyant des troupes en Afghanistan et en Irak. En dépensant dans ces guerres, les Etats-Unis ont offert à la République islamique des acquis importants. »
La veille de l’intervention de Salami, le Guide suprême du régime, Ali Khamenei, reconnaissait dans un discours que « la jeune génération a perdu confiance en l’avenir et en la Révolution. Elle s’éloigne de la voie de l’Imam (Khomeiny) ». Il ajoutait : « le compromis avec les Etats-Unis ne réglera en aucun cas les problèmes du pays, ni économiques, ni politiques, ni sécuritaires, ni moraux. Au contraire ils vont s’aggraver. Il y a dix raisons pour cela. On peut évoquer dix à quinze raisons. La dernière preuve est cette histoire de l’accord (nucléaire). »
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
Le 4 novembre 2016

#Iran #Salami #Téhéran #Beyrouth

Monday, October 17, 2016

Journée mondiale pour l’abolition de la peine de mort - exposition sur le massacre en Iran à Paris


Vidéo;
https://youtu.be/38nQUsFTANM


A l'occasion de la journée mondiale contre la peine de mort, la Mairie du 1er arrondissement de Paris accueillait, une exposition, lundi 10 octobre, sur les exécutions en Iran. Organisé à l’initiative du Comité de Soutien aux Droits de l’Homme en Iran (CSDHI), l’exposition était riche d’interventions d’élus, de défenseurs des droits de l’Homme et de témoins des violations des droits de l’Homme en Iran.
L’exposition a mis l’accent sur le massacre des prisonniers politiques en Iran en 1988. Des exécutions en masse qui se poursuivent dans ce pays détenteur du triste record de pendaisons par nombre d'habitants. Ces exécutions sont dénoncées dans le récent rapport du secrétaire général de l'ONU à l'actuelle Assemblée générale.

#Iran #Paris #CSDHI

Sunday, October 16, 2016

Journée mondiale pour l’abolition de la peine de mort - exposition sur le massacre en Iran à Paris

10 Octobre 2016

A l'occasion de la journée mondiale contre la peine de mort, la Mairie du 1er arrondissement de Paris accueillait, une exposition, ce lundi 10 octobre, sur les exécutions en Iran. Organisé à l’initiative du Comité de Soutien aux Droits de l’Homme en Iran (CSDHI), l’exposition était riche d’interventions d’élus, de défenseurs des droits de l’Homme et de témoins des violations des droits de l’Homme en Iran.
Photos:














Wednesday, October 5, 2016

Intervention de Jean Pierre Brard– Ancien député-maire de Montreuil

Intervention de Jean Pierre Brard– Ancien député-maire de Montreuil, a la veille de la journée internationale contre la peine de la mort Répression violente en Iran à aubervilliers (France)




Exposition et intervention à Aubervilliers sur le massacre des prisonniers en Iran
Lors d’une exposition, samedi 1er octobre, à Aubervilliers l’accent a été mis sur les dimension des violations des droits de l’Homme en Iran par un régime théocratique qui abuse de l’islam, Cette exposition qui a attiré beaucoup d’attention a été organisé à l’initiative de l’association « 93 au cœur de la République » et le « Comité de Soutien aux droits de l’Homme en Iran « (CSDHI) en présences d’élus et d’élues du 93 et de témoins et d’anciens prisonniers iraniens et de représentants du Conseil national de la Résistance iranienne.


#Aubervilliers #massacre #Exposition #Iran

Tuesday, October 4, 2016

Intervention de Behzad Naziri– membre de la commission des Affaires Etrangère du CNRI

Intervention de Behzad Naziri– membre de la commission des Affaires Etrangère du CNRI, a la veille de la journée internationale contre la peine de la mort Répression violente en Iran à aubervilliers (France)


Exposition et intervention à Aubervilliers sur le massacre des prisonniers en Iran
Lors d’une exposition, samedi 1er octobre, à Aubervilliers l’accent a été mis sur les dimension des violations des droits de l’Homme en Iran par un régime théocratique qui abuse de l’islam, Cette exposition qui a attiré beaucoup d’attention a été organisé à l’initiative de l’association « 93 au cœur de la République » et le « Comité de Soutien aux droits de l’Homme en Iran « (CSDHI) en présences d’élus et d’élues du 93 et de témoins et d’anciens prisonniers iraniens et de représentants du Conseil national de la Résistance iranienne.

#Aubervilliers #massacre #Exposition #Iran

Tuesday, September 27, 2016

Exposition-Intervention: A la veille de la journée internationale contre la peine de mort


Bonsoir
A l'Occasion de la journée internationale contre la peine de mort et en mémoire du massacre des 30000 prisonniers politique en Iran, il y aura une Exposition -intervention à la mairie du 1er Arrondissemnt du paris.
Voici l'invitation:

Monday, September 12, 2016

La Résistance iranienne célèbre la réinstallation des résidents du camp Liberty

Auvers-sur-Oise
La Résistance iranienne célèbre la réinstallation des résidents du camp Liberty


La joie et le soulagement étaient présents samedi 10 septembre, au bureau du Conseil national de la résistance iranienne à Auvers-sur-Oise. De nombreux Iraniens ont célébré dans une ambiance festive le succès de la réinstallation des résidents du camp Liberty, membre de l’Organisation des Moudjahidine du peuple d’Iran, qui ont quitté l’Irak la veille vers l’Europe.
Le camp Liberty fut à maintes reprise la cible d’attaques meurtrières des milices extrémistes commanditées par le régime de Téhéran. Près de 177 membres de l’OMPI ont perdu la vie dans ces attaques meurtrières en Irak. La communauté iranienne du Val-d’Oise comptait beaucoup de proches parents parmi ces personnes.
La présidente élue de la Résistance iranienne, Maryam Radjavi, a décrit cette réinstallation comme un revers stratégique pour le régime des mollahs et une avancée de la résistance pour l’instauration de la liberté et la démocratie en Iran.

Maryam Radjavi a exprimé sa gratitudes aux personnalités qui ont soutenu durant ces années les membres de la résistance menacés en Irak. Beaucoup de ces personnalités étaient présentes à la cérémonie samedi, comme Jean-Pierre Muller, maire (DVG) de Magny-en-Vexin et co-président du Comité des maires contre l’intégrisme et pour les droits de l’Homme (qui s’étaient constitué pour la protection des réfugiés iraniens en Irak et qui a bénéficié du soutien de 14 000 maires et élus de France) ; Bruno Macé maire (DVG) de Villiers-Adam, Jean-Pierre Bequet l’ancien maire (PS) d’Auvers-sur-Oise… mais aussi Ingrid Betancourt, ancienne candidate à la présidentielle en Colombie ; Sid Ahmad Ghozali, ancien Premier ministre de l’Algérie ; Alejo Vidal Quadras, président du Comité international pour la Justice (ISJ) et ancien vice-président du Parlement européen ; Annisa Boumediene, juriste et islamologue et ancienne première dame d’Algérie ; Tahar Boumedra, ancien chef du Bureau des droits de l’Homme des Nations unies en Irak chargé du dossier d’Achraf auprès de l’ONU, ou Monseigneur Jacques Gaillot.
#Gazette #Iran #Résistance

Wednesday, August 24, 2016

l'opposition en exil demande à l'ONU une résolution sur le « massacre » d'opposants en 1988

Avec l’AFP - La présidente du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI, opposition en exil), Maryam Radjavi, a demandé mercredi aux Nations unies d'adopter une résolution sur le « massacre » de milliers d'opposants politiques en Iran en 1988.
« Nous commémorons l'anniversaire du massacre de 30.000 prisonniers politiques en Iran, un terrible génocide commis par la dictature religieuse », a déclaré Mme Radjavi dans un communiqué publié à l'occasion d'une exposition à la mémoire des victimes de la répression de 1988 à la mairie du IIe arrondissement à Paris, en présence de plusieurs élus français.
D'août 1988 à février 1989, les autorités iraniennes ont procédé à des exécutions massives de prisonniers politiques. Près de 5.000 prisonniers ont été tués, selon Amnesty International. Le CNRI, dont la principale composante est l'Organisation des Moudjahidine du peuple iranien (OMPI), évoque le chiffre de 30.000 morts, pour la plupart des militants de l'OMPI.
« Les Nations unies ont évité de prendre position à ce sujet. C'est ça la politique de complaisance. C'est sacrifier les droits de l'Homme sur l'autel du commerce. Il est temps aujourd'hui pour l'ONU d'adopter une résolution sur ce massacre. La communauté internationale doit faire juger les mollahs au pouvoir en Iran », a demandé Mme Radjavi
Dans son message, la présidente du CNRI a fait mention d'un enregistrement audio de l'ayatollah Hossein Ali Montazeri, ancien dauphin de l'ayatollah Rouhollah Khomeiny, qui vient d'être rendu public en Iran.
Selon ce document, daté de 1988, Hossein-Ali Montazeri qualifie la répression de « crime le plus terrible commis en république islamique ».
« C'est à cause de ses protestations que Montazeri a été destitué et assigné à résidence jusqu'à la fin de sa vie », a souligné la présidente du CNRI, accusant le ministre actuel de la Justice en Iran, Mostafa Pour-Mohammadi, d'être l'un des principaux responsables de la répression de 1988.
Mme Radjavi a rendu visite dans la journée de mercredi à une exposition sur ce massacre ; à la Mairie du 2ième arrondissement de Paris en présence de Maire Jacques Boutault. Plusieurs personnalités dont l’ancienne secrétaire d’Etat aux droits de l’Homme Rama Yade, l’ancien otage Ingrid Betancourt, le Maire du 1er arrondissement de Paris, Jean-François Legaret, l’ancien député Jean-Pierre Brard ou l’ancien maire d’Auvers-sur-Oise Jean-Pierre Bequet ont rendu visite à cette exposition.
#Paris #Iran #Boutault #Radjavi

Thursday, August 18, 2016

LE GRAND RASSEMBLEMENT DU BOURGET 2016 POUR IRAN LIBRE



Des milliers d’activistes de l’opposition iranienne se sont rencontrés dans la capitale française samedi 9 Juillet pour participer à l’un des plus grands rassemblements anti-régime organisé par le groupe d’opposition du Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI)



#rassemblement #Bourget #Vidéo #France #Iranian

Sunday, August 14, 2016

Exposition - Anniversaire du massacre des prisons en Iran

23 et 24 Août La Mairie du 2e arrondissement de Paris Pour l’anniversaire du massacre des prisons en Iran durant l’été 1988 où 30000 prisonniers politiques ont été exécutés, uneexposition est organisée à la mairie du 2e arrondissement de Paris Vous êtes invités à y participer. #Iran #Massacre #Prison #Paris

Tuesday, August 2, 2016

Non à la barbarie au nom de la religion

Maryam Radjavi condamne vivement l'attaque terroriste près de Rouen et l'assassinat d'un prêtre innocent 
Maryam Radjavi, Présidente-élue du Conseil national de la Résistance iranienne, a condamné vivement l'attaque terroriste mardi contre une église près de Rouen, qualifiant ce crime ignoble d’affront flagrant contre les valeurs de l’humanité ; et contre les enseignements de toutes les religions, particulièrement celles de l’islam.


Faisant part de ses condoléances au peuple, au gouvernement et à l'Eglise de France, elle a souligné que ces attaques sauvages rappellent les crimes du régime des mollahs au cours des 37 années de dictature religieuse en Iran, notamment contre les dignitaires religieux chrétiens et sunnites et même des religieux chiites qui ont refusé de se plier aux dictats des mollahs.

Le peuple iranien, qui vit sous le joug d’un régime terroriste et extrémiste sous le couvert de l’islam, un régime assimilé à Daech par les iraniens, est bien placé pour comprendre la souffrance du peuple français dans ces moments difficiles et se tient à ses côtés.

Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne

Le 26 juillet 2016

Musulmans à l’Eglise Saint-Germain-des-Près : Non à la barbarie au nom de la religion
 31 juillet 2016


https://www.youtube.com/watch?v=inHLH7ant0c&feature=youtu.be

Des musulmans partout en France ont répondu à l’appel lancé par le Conseil français du culte musulman (CFCM), qui a invité les fidèles à se rendre à la messe pour exprimer leur "solidarité" et leur "compassion" après l’assassinat par des extrémistes, du père Jacques Hamel à l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray près de Rouen.

Ce dimanche, à l’Eglise de Saint-Germain-des-Prés aussi, assistaient quelques musulmans à la messe parmi lesquels des marocains mais aussi un groupe d’Iraniens dont des femmes voilées. Ils étaient tous venus pour rendre hommage au père Hamel victime de la barbarie et témoigner de leur solidarité avec les Chrétiens de France.

L’une de ces iraniennes a expliqué que le choix de cette église n’était pas dû au hasard. C’est ici qu’assistait à la messe de Noël la musulmane Maryam Radjavi figure emblématique de la résistance iranienne. Ce dimanche à l’Eglise on rappelait que Mme Radjavi avait qualifié ce «crime ignoble d’affront aux enseignements de toutes les religions et aux valeurs humaines. » Elle avait présenté ses condoléances au peuple, au gouvernement et à l’église de France.
L’un des membres de la résistance iranienne, musulman pratiquant, ne pouvait cacher son émotion en écoutant la cérémonie, tant de cruautés contre des innocents qui ne font que pratiquer leur religion est révoltante. Face à cette révolte, la fraternité que se témoignent Chrétiens et musulmans dans cette église comme partout ailleurs, dégageait une paix et une force bien plus grande que toute la barbarie de l’obscurantisme.

 

LA COMMUNAUTÉ IRANIENNE DU VAL-D'OISE SOLIDAIRE DES VICTIMES DU TERRORISME EN FRANCE

 31 juillet 2016




Iran Manif - À l'appel du Conseil français du Culte musulman (CFCM) en solidarité avec les chrétiens de France après un attentat ignoble dans une église, une délégation de la communauté iranienne du Val-d'Oise a participé ce dimanche à une messe célébrée à l'église de Pontoise.
La mort brutale de ce prêtre de 86 ans, égorgé par deux extrémistes islamistes devant trois religieuses et un couple de paroissiens (dont un a aussi été victime de ces sauvages), a suscité une grande émotion chez les musulmans de France qui ont franchi la porte de l'église pour communier avec les catholiques à la mémoire du père Jacques Hamel.
La messe à Pontoise a été célébrée par le père Édouard Georges qui a appelé les humanistes du monde entier à s’unir contre l'extrémisme et l'intolérance. 
La communauté iranienne d'Auvers-sur-Oise répondait à l'appel du CFCM  qui avait invité les fidèles à se rendre dimanche à la messe pour exprimer leur « solidarité et compassion ». La conférence des évêques de France avait appelé les paroisses à leur réserver « un accueil fraternel ».
Des femmes iraniennes avaient apporté avec elles le message de Maryam Radjavi, la présidente du Conseil national de la Résistance iranienne basé à Auvers-sur-Oise, qui a vivement condamné dans un communiqué, le 26 juillet, l’assaut terroriste contre une église Saint Etienne du Rouvray près de Rouen, le qualifiant « d’affront flagrant aux enseignements de toutes les religions et aux valeurs humaines ».  

« Ces attaques sauvages rappellent les crimes commis au cours des 37 dernières années de dictature religieuse contre le peuple iranien, les dirigeants religieux chrétiens comme les dignitaires sunnites et chiites qui ont refusé de se plier aux dictats des mollahs, a-t-elle déclaré. Le peuple iranien, qui vit sous le joug d’un fascisme intégriste et terroriste, assimilé à Daech en Iran, est bien placé pour comprendre la souffrance du peuple français dans ces moments difficiles et se tient à ses côtés. » 

Sunday, July 17, 2016

Auvers-sur-Oise : les condoléance de Maryam Radjavi



http://www.leparisien.fr/auvers-sur-oise-95430/auvers-sur-oise-les-condoleance-de-maryam-radjavi-16-07-2016-5972943.php

La Présidente du Conseil national de la Résistance iranienne, installé à Auvers-sur-Oise, condamne «vigoureusement l’effroyable crime terroriste de la nuit du 14 juillet à Nice et le massacre des innocents». Maryam Radjavi adresse «ses condoléance au peuple français».
« L’intégrisme, le terrorisme et le massacre des innocents sous le couvert de l’islam, tant sous la forme chiite avec le guide suprême, que sunnite avec Daech, n’ont rien à voir avec l’islam authentique. Où qu’il soit, ce phénomène funeste est l’ennemi de la paix et de l’humanité et doit être éradiqué», souligne-t-elle dans un communiqué.
La communauté a également installé un petit autel de condoléances, rue des Gords à Auvers.
  leparisien.fr

Tuesday, July 12, 2016

Iran : l'opposition dresse un sombre bilan de l'accord sur le nucléaire

Iran : l'opposition en exil dresse un sombre bilan de l'accord sur le nucléaire
AFP
09/07/2016
L'opposition iranienne en exil a dressé samedi un constat "d'échec" un an après l'accord historique sur le nucléaire iranien, estimant que le pays s'était depuis enfoncé dans la récession, coupé de ses voisins et durci en interne.
"L"économie du pays devait se remettre sur pied, mais elle est encore plus enfoncée dans la récession qu'auparavant, le système bancaire est en faillite et les entreprises ferment à foison", a déclaré la présidente du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), Maryam Radjavi.
Cette responsable s'exprimait à l'occasion du rassemblement annuel de son mouvement, organisé au Bourget, près de Paris, qui rassemblait des milliers de personnes venues essentiellement d'Europe, mais aussi des Etats-Unis ou d'Australie.
Le CNRI, basé en France, est une coalition politique de groupes d'opposants iraniens, dont les plus connus sont les Moudjahidine du peuple (MEK), une organisation considérée comme "terroriste" par l'Union européenne jusqu'en 2008 et par les Etats-Unis jusqu'en 2012.
C'est ce mouvement d'opposition qui avait révélé en 2002 l'existence d'un programme nucléaire iranien. Dans un accord signé le 14 juillet 2015, Téhéran a accepté de limiter ce programme en échange de la levée des sanctions économiques occidentales contre le pays. 
Un an plus tard, "une grande partie des sanctions a été levée et les exportations de pétrole ont augmenté, mais l'argent a été englouti dans le brasier de la guerre en Syrie", a estimé Mme Radjavi.
Avec cet accord, les dirigeants "disaient vouloir améliorer leurs relations avec le monde, mais à la place ils ont intensifié leurs ingérences dans les autres pays et finalement au moins six pays voisins et de la région ont rompu leurs relations avec le régime", a-t-elle ajouté.
L'Arabie Saoudite sunnite, notamment, a rompu toute relation avec l'Iran chiite, après le saccage de missions diplomatiques saoudiennes par des manifestants iraniens. Mais plus globalement, les deux pays s'opposent sur les crises régionales, notamment la Syrie ou l'Irak, où Téhéran a envoyé des "conseillers" militaires.
Enfin, en interne, Mme Radjavi a dénoncé une "farce électorale". Malgré la progression des réformateurs aux législatives en début d'année, l'ayatollah Ali Khamenei, 76 ans, a maintenu sa "mainmise sur les deux chambres", a-t-elle estimé, en évoquant une augmentation des "exécutions" dans le pays.
"Ni la fable de la modération ni le tapage sur l'accord nucléaire n'ont pu ouvrir une voie au régime", a-t-elle conclu 
OLJ/



compte-rendu de l'evenement sur le site de FRANCETV-Info :



videos des délégations françaises intervenant :